Barbara Vinken schreibt im nächsten Heft der Romanischen Studien über den Film Gemma Bovery (2014) von Anne Fontaine und über den zugrundeliegenden Comic (1999) von Posy Simmonds.
Quittant son amant Patrick à Londres, l’artiste Gemma épouse le restaurateur de meubles Charlie Bovery et le couple achète une fermette en Normandie. Leur voisin Martin, le boulanger du village, est passionné de littérature. Lorsque Gemma démarre une liaison avec Hervé, le fils du château, Martin est consterné parce qu’il imagine qu’elle suivrait la descente tragique de Emma dans Madame Bovary de Gustave Flaubert. Il lui envoie une lettre, faisant semblant d’être signée par Hervé, pour terminer l’histoire d’amour.
Charlie ayant quitté le foyer à cause de cette infidélité, Gemma se trouve seule lorsque son ancien amant Patrick apparaît, cherchant à raviver leur relation passée. Lorsqu’il arrive, un pain spécial que Martin a préparé pour elle est devant sa porte. Mais Gemma s’étouffe en le goûtant. Patrick essaie de l’aider par une manœuvre de Heimlich, quand Charlie réapparaît prenant l’acte médical qu’il pratique sur elle pour un acte amoureux. Alors que les deux hommes se mettent à se battre, Gemma meurt étouffée. (Wikipedia)
Als „Gemma Bovery“ vor zehn Jahren in Frankreich erschien, löste es eine Kontroverse aus. Dabei ging es keineswegs darum, dass sich eine Engländerin erfrechte, einen französischen Klassiker zu einer Bande dessinée umzuformulieren, sondern um die Frage, wie textlastig ein Comic sein darf. Tatsächlich missachtet Simmonds etliche Konventionen des Comics. […] Besonders auffällig sind die Textpassagen, mit denen sie die Bildsequenzen unterbricht: Tagebuchaufzeichnungen, Briefe, Beschreibungen, innere Monologe.
Christian Gasser, „Liebe, Enttäuschungen, Ehebruch: ‚Gemma Bovery‘ – Posy Simmonds’ Comic-Adaption von Gustave Flauberts klassischem Roman“, Neue Zürcher Zeitung, 11. November 2011.
Abbildung: Nico Paix, Ici naquit Gustave Flaubert